Restaurations en
amalgame et composite

Face à une carie ou à une dent cassée, nous devons effectuer une réparation qui aidera à rétablir la fonction masticatoire et l’aspect esthétique. Actuellement, nous avons recours à deux matériaux possibles: l’amalgame et les résines composites.

Restauration en amalgame

Restauration en amalgame

Amalgame

Souvent appelé à tort plombage, l’amalgame existe depuis plus d’un siècle. Il est composé d’un alliage d’argent (50 à 70%), d’étain et de cuivre, auquel on associe du mercure. Bien que peu esthétique, l’amalgame est reconnu comme étant très résistant à l’usure, procure une excellente durabilité et a un coût avantageux par rapport à d’autres matériaux.

À gauche: la carie a été enlevée, la structure dentaire restante laisse des cavités importantes. À droite: la molaire a été restaurée avec une résine composite (communément appelée "plombage blanc").

À gauche: la carie a été enlevée, la structure dentaire restante laisse des cavités importantes. À droite: la molaire a été restaurée avec une résine composite (communément appelée "plombage blanc").

Résine composite

Créées plus récemment, elles étaient initalement destinées à restaurer les dents antérieures. En effet, grâce à une multitude de teintes disponibles, les composites peuvent s’harmoniser avec la couleur de la dent. Mais avec le progrès, la création de composites plus résistants à l’usure a permis de restaurer les dents postérieures également.  La mise en place d’un composite postérieur est une intervention plus complexe et qui exige plus de temps que celle de l’amalgame; elle est plus dispendieuse.